Faefever (Fièvre Fae) – Karen Marie Moning
Lorsque MacKayla Lane reçoit une page déchirée du journal de sa sœur sauvagement assassinée, elle est déconcertée par le désespoir qui transperce dans chacun de ses mots. Mac sait maintenant que le meurtrier de sa sœur est proche. Sauf que le mal est plus proche encore. Mac part alors en quête. En quête de réponses. En quête de revanche. Et en quête d’un ancien livre de magie noire si maléfique qu’il corrompt quiconque le touche.
La quête de Mac la mène dans les rues de plus en plus maléfiques de Dublin, traînant dans son sillage un policier suspicieux. Obligée bien malgré elle de s’allier avec V’lane, un prince Fae insatiable aux goûts érotiques mortels, et Jericho Barrons, un homme mystérieux aux désirs primaux, Mac se retrouve rapidement prise dans une bataille pour sauver son corps, son esprit et son âme.
Traduction personnelle de la quatrième de couverture
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Troisième tome des aventures de NacKayla Lane. Un troisième tome qui monte petit à petit en tension. Un troisième tome qui met en scène une Mac qui a de plus en plus envie d’en découdre, qui a définitivement relégué au placard la petite poupée Barbie qu’elle était au début de la série, fashion victim jusqu’au bout des ongles, pour faire place à une nouvelle Mac, vêtue de noir, armée jusqu’aux dents, prête à toutes les éventualités, une Mac sans pitié, une Mac qui veut tuer du Fae, une Mac prête à tout pour sauver Dublin, cette ville qu’elle a fini par aimer comme si c’était chez elle.
Vous raconter les événements de ce troisième tome est impensable. Ce serait trop vous en dire. On y rencontre quelques personnages importants. On y retrouve Dani, on y retrouve Christian, le bel écossais, on y retrouve, bien sûr, Barrons, toujours aussi mystérieux, toujours aussi ténébreux et toujours aussi diablement séduisant (le terme swoonesque lui conviendrait parfaitement). Et V’lane, of course, que serait la série des Fae sans V’lane et son combat de coq avec Barrons pour Mac.
Il se passe des choses horribles, dans ce troisième tome, chers lecteurs, des choses impensables, des choses surprenantes. Mais rien de tout cela n’est aussi bouleversant, aussi déstabilisant, aussi horrifiant que les quelques dernières pages. Et cette dernière phrase.
Il y a une constante dans les romans de cette saga, chers lecteurs. La dernière phrase de chaque roman est systématiquement et inévitablement une bombe en soi. Et celle-ci en est une sacrée. Une énorme, limite une bombe atomique, qui dévaste tout sur son passage, laissant son lecteur pantois. Le roman dans son ensemble est une montée en puissance progressive, jusqu’à CET événement. Celui qui nous laisse sans voix. Celui qui anéantit toutes nos théories. Celui qui nous oblige à nous précipiter sur la suite, parce que CE N’EST JUSTE PAS POSSIBLE, une chose pareille. Celui qu’on voudrait effacer. L’irrémédiable. L’horreur absolue…
Une fois de plus, je me suis trouvée emportée dans un tourbillon, chers lecteurs, un tourbillon d’émotions, d’aventures, de révélations, de retournements de situation. Je tournais chaque page avec avidité, curieuse de connaître le pourquoi du comment. Je suis définitivement accrochée, scotchée, engluée, à Mac et à Barrons, dont je suis VRAIMENT très curieuse de connaître les secrets, la véritable nature, les motivations. Tellement accro que je suis allée emprunter le tome 4, Dreamfever, à la bibliothèque avant d’avoir passé le milieu du roman, pour être sûre, au cas où, que je pourrais enchaîner… et j’ai bien fait, parce qu’avec une fin pareille, je me serais retrouvée dévorée par la curiosité, rongée par ce besoin impérieux de lire la suite, de savoir, d’avoir une explication. De comprendre comment on allait se sortir de là…
Chers lecteurs, ma conclusion sera brève : HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! Swooooooooooooon !
(Titre original) The Fever Series T3 - Faefever
(Traduction)Les Chroniques de MacKayla Lane T3 – Fièvre Fae
Karen Marie Moning